Quelques années plus tard, en 1787, le même peintre, Jacques Louis Davis réalisa, cette Mort de Socrate. Le philosophe grec montre pour sa part de la main gauche le ciel, c'est à dire l'univers immatériel des Idées qui est au principe de sa pensée, et de l'autre main il accepte la coupe de ciguë, le poison qu'il est condamné à boire. Là aussi ses amis et disciples l'accompagnent et reçoivent la leçon de son courage.
Cette scène est un autre des grands thèmes que les peintres ont souvent traité parmi les sujets historiques empruntés à l'Antiquité, genre noble s'il en fut.
1 commentaire:
c'est dommage on ne peut pas voire la vidéo sur les ordinateur du collège
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